Ruelles sombres… explication
En 1920, un assassin s’attaque à des femmes dans les ruelles sombre de Paris.
Les gens le surnomment le Diable de Paris.
Chaque nuit, il se déplace dans de sombres rues déshéritées et cible des femmes des classes inférieures.
Les victimes ont été découvertes avec des organes prélevés et les médecins sont incapables de déterminer comment se fut réalisé.
L’inspecteur Paul Dufour était chargé de l‘enquête sur le Diable de Paris.
Il a commencé à interroger les témoins et à recueillir des indices. Les gens lui ont parlé d‘une silhouette sombre et masquée qui rôdait dans les rues la nuit, mais personne ne pouvait le décrire plus précisément. Paul s‘est mis à la recherche de l‘Assassin.
Dans son carnet de notes, l’enquêteur a inscrit :
Léon Brun, riche homme d‘affaires, est soupçonné d‘être impliqué dans les meurtres. Il est très arrogant et sûr de lui, mais il a un passé mystérieux qu‘il ne veut pas révéler.
Monsieur Renard, un homme mystérieux qui semble être lié aux meurtres. Il est intelligent et rusé et parait toujours être un pas devant les autres.
Témoin d’un meurtre : Une jeune femme qui a été témoin de l‘un des meurtres et qui est maintenant en sécurité. Elle est intelligente et courageuse et est prête à aider le détective à résoudre le mystère.
Quelques jours plus tard, l’enquêteur a été retrouvé mort dans une rue et son cerveau a été prélevé.
La ville engage un groupe d’enquêteur, afin de retrouver au plus vite l’assassin.
L‘ambiance de nuit dans les ruelles tortueuses et sinueuses de Paris en 1920 était sombre et inquiétante.
Les rues étaient étroites et sales, recouverts de lichen et de graffiti, avec des murs de brique rouge et des pavés luisants. Elles sont parsemées de déchets et de détritus.
La plupart des bâtiments sont très vieux et en mauvais état.
Les lampadaires éclairaient faiblement les ruelles, mais les ombres des bâtiments et des arbres projetées sur les murs donnaient une impression de malaise et de mystère.
La brise nocturne portait des relents de vin et de fumée de cigarette qui mêlaient leur parfum à celui des rues.
Les ruelles sont souvent remplies de mendiants et d‘ivrognes qui cherchent refuge dans de sombres recoins reculés des ruelles.
Les odeurs d‘urine et d‘excréments sont omniprésentes et le bruit des pas et des cris des habitants est aussi constant.
Des silhouettes sombres se mouvaient dans l‘obscurité, et les sons d‘une musique lointaine résonnaient à travers les ruelles.
Le silence était troublé par le bruit des pas de ceux qui se hâtaient de rentrer chez eux et par le son occasionnel des voitures qui passaient dans les rues principales.
Personnages
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Religion, Exorciste
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Politique